La maternité / Côté grossesse

Houla attention, billet bien long ! J’avais envie de revenir sur ma grossesse, mon accouchement et mon post-partum, ce qui m’a aidé et puis ce que j’ai regretté etc… J’ai finalement divisé l’article en deux : une partie grossesse/valise de maternité et une partie post-partum!
 
Alors pour reprendre un peu l’histoire rapidement, c’était ma troisième grossesse : 3ème geste, 2ème pare comme on dit dans le milieu médical. 3 grossesses, 2 enfants, 1 fausse couche donc ! C’était déjà dès le début une grossesse difficile. Quand t’as fait une fausse couche à 10SA, tu t’investis complètement différemment. Tu t’investis même pas du tout au début parce que bon on ne sait jamais. A chaque écho, l’angoisse qu’on me dise que le développement s’est arrêté. Même après l’écho du T1 je n’étais pas rassurée. C’est au moment de m’inscrire à la maternité, je me souviens, j’étais dans le couloir, il était baigné de lumière et là j’ai réalisé : « j’allais être maman pour la deuxième fois ». Une énorme vague d’amour m’a submergé à cet instant précis. J’étais heureuse, juste du pur bonheur. Et puis pas de chance 10 jours après, j’apprenais que j’avais fait une séroconversion au CMV. Boum dans ta face… Je faisais mes prises de sang tous les mois concernant le CMV. Dans mon ancienne vie je travaillais dans un service où j’ai pu croisé des enfants qui avaient été contaminé in utero. Et évidemment dans ce service, étaient pris en charge les tableaux les plus lourds. C’était ma grande angoisse de choper le CMV. A la maison, on était hyper au taquet sur l’hygiène : on évite les bisous sur le visage des enfants, on se lave bien les mains après chaque moment où il peut y avoir un échange de fluides (change, larmes…), on ne partageait pas les mêmes mouchoirs, gants de toilettes, couverts… Bref, cela reste un mystère pour moi de savoir comment je l’ai attrapé mais donc voilà j’ai été enceinte et sereine juste 10 petits jours. Et pas de chance, je l’ai attrapé pendant le premier trimestre, donc le pire timing (enfin le pire du pire c’est quelques jours avant la fécondation et quelques jours après). La suite s’est déroulée à Necker, dans le service de Diagnostic Prénatal, le must du must européen en matière de CMV. Echos toutes les 2 semaines en attendant l’amniocentèse puis tous les mois car cette dernière s’est révélée négative (le CMV n’avait pas passé la barrière du placenta). Gros soulagement mais pas total non plus car les échos avaient révélé des petites anomalies. Mais c’est le risque quand tu fais des échos aussi souvent et aussi poussées, on trouve pleins de mini choses. Et c’est l’écho à 6 mois de grossesse qui sera enfin la première où rien ne sera inquiétant. Je peux partir enfin en vacances l’esprit tranquille ! Enfin tranquille juste quelques jours, car l’angoisse revient très rapidement. Il peut se passer encore mille choses d’ici la naissance. (Et ne venez pas me dire « ca va aller, il n’y a pas de raisons » Parce qu’entre nous, il n’y avait pas de raison que j’attrape le CMV vu comment on faisait attention, sauf que faut bien que ça tombe sur quelqu’un !)
 
Et puis arrive mon congé mat, et là je commence enfin à me poser sur mon accouchement et je décide de me préparer à un accouchement physiologique sans péridurale. Grace à ma communauté sur insta, je trouve une sage-femme géniale qui nous y prépare super bien. Cet accouchement devient un vrai projet de couple, car sans péridurale c’est un poil ambitieux de s’y préparer seule ^^ Mon mec est au taquet, on répète régulièrement le soir les points d’accupression. Et puis arrive la fin, les jours commencent à être long. Je stresse énormément de dépasser mon terme car avec le CMV, tout me fait flipper et puis le lundi soir je commence à avoir des contractions régulières. Toutes les 4 minutes. On décolle à la mater, en marchant dans la nuit. Comme je l’avais imaginé dans mon accouchement idéal ^^ Je tenais à accoucher dans le calme de la nuit, un peu comme pour mon premier accouchement, j’en gardais un souvenir tellement magique tellement il s’était déroulé dans la serénité. Je voyais donc le même accouchement, péridurale en moins ^^ Je m’étais aussi préparé à pleins de variantes d’accouchement aussi (on ne change pas sa personnalité, j’ai toujours besoin d’être préparée au pire !)  
 
Mais je n’avais absolument pas imaginé me taper une nuit blanche de faux travail ! Je suis donc retournée chez moi, l’âme tellement en peine, avec ma grosse valise. Croyez-moi, j’étais au bout de ma vie ! Je suis rentrée me faufiler dans mon lit prendre mon petit déjeuner. Et puis, bim. Une contraction et une énorme déflagration dans le ventre. Je me rends rapidement compte que j’ai perdu les eaux. Je file sous la douche parce que bon nuit blanche oblige, il était hors de question d’aller à la mater complètement pouilleuse et les cheveux sales (chacun ses névroses hein ^^). Et là, je me réalise assez rapidement que le sans péridural risque d’être un peu chaud tellement les contractions me plient déjà en deux. Pas le temps de m’habituer à la douleur, c’est direct gros level. J’arrive à la mater, on m’allonge pour le monito et là, comment vous dire ? Ben la douleur à l’état pur. Je ne la vis pas, je la subis. Je reste scotchée au lit. La sage-femme m’encourage comme sur mon projet de naissance pour que je puisse le faire sans péri et puis au bout d’une bonne heure, je suis en mode rien à foutre de comment j’accouche, je veux juste mon bébé entre les bras ! J’ai la péridurale de justesse, je pousse déjà pour me soulager quand l’anesthésiste me la pose. Elle ne fonctionnera du coup juste pour la sortie. Bref, 2h30 après avoir perdu les eaux, j’avais ma fille dans les bras ! Inutile de vous dire qu’on a utilisé aucun des petits trucs qu’on avait prévu pour soulager la douleur (le massage, la balle de tennis, les points d’accupression…)! La douleur a été intense si vite que je n’ai pas réussi à la gérer. Mais le côté positif c’est que j’ai quand même eu un accouchement physio sur le côté comme je le voulais !
Bon et puis, on a pu fermer la parenthèse CMV une bonne semaine après la naissance quand on a eu les résultats du prélèvement à la naissance. Lison n’a donc pas chopé de virus après l’amniocentèse !
 
Bref une longue introduction, pour partager avec vous les choses qui m’ont été utiles pour cette grossesse et ce que j’ai pu mettre dans ma valise de maternité !
 
Mes lectures
 
Un accouchement sans péridurale, c’est quand même mieux de s’y préparer (remarquez cela vaut aussi pour un accouchement avec péridurale !). D’ailleurs, et c’est vraiment un conseil que je pourrais vous donner, c’est de vous préparer à un accouchement physiologique, même si vous voulez de toute façon une péridurale. Ces préparations vous expliquent bien mieux et bien plus en détails, le fonctionnement de votre corps lors de l’accouchement ainsi que tout ce que vous pourrez mettre en œuvre pour soulager la douleur et adapter votre accouchement. J’avais beau déjà avoir accouché et avoir suivi une préparation pour ma première grossesse, j’ai réellement appris la physiologie de l’accouchement que pour ce second accouchement.
 

Petit renard Brin d’Ours – Hochet oiseau Bajo
 
J’accouche bientôt, que faire de la douleur ? – Maïtie Trélaün : un livre assez théorique qui explique bien les mécanismes de la douleur et comment trouver des moyens de l’apaiser.
 
Mon cours de préparation à l’accouchement – Dr Bernadette de Gasquet : Evidemment le must du must si vous voulez protéger à fond votre périnée !
 
Mon corps après bébé Tout se joue (ou presque) avant 6 semaines – Dr Bernadette de Gasquet : Dans ce livre, l’autrice donne beaucoup de conseils notamment juste après la délivrance, des exercices à faire sur la table d’accouchement (bon que j’ai trouvé un poil irréalisable ^^) mais elle insiste énormément sur le fait de rester le plus possible allongée (avec des bas de contentions si possible) les semaines qui suivent l’accouchement pour permettre au périnée de se remettre en place sans devoir lutter contre la gravité.
 
Le Mois d’or – Céline Chadelat et Marie Mahé-Poulin : alors là ce livre, ça a été mon coup de cœur ! Il vous fait prendre conscience de l’importance de se créer une bulle pendant les 40 jours qui suivent la naissance. C’est un livre d’une extrême bienveillance. Quand on le lit, on se dit « mais oui, je mérite, j’ai le droit de m’accorder ce cocon ». Je me suis beaucoup appuyé sur ce livre pour établir une « stratégie » du post partum avec mon mec. J’ai eu la chance de l’avoir à la maison pendant quasiment un mois et ce livre nous a permis de beaucoup discuter en amont de comment on voulait aborder le post partum. Et de fait, j’ai passé les 3 premières semaines allongée, dans ma chambre. Mon mec gérait tout le reste, moi je m’occupais juste d’allaiter et de récupérer ! Mais je reviendrai sur le post partum dans un autre article car sinon ce billet va être beaucoup trop long ^^
 
Autre livre sur le post-partum que je n’ai pas lu mais que je peux tout de même vous conseiller pour l’avoir feuilleté après avoir accouché, celui de Julia Simon: Bien vivre son quatrième trimestre
 
Les podcasts
 
Haaaa les podcasts ! Difficile de ne pas passer à côté pendant la grossesse ! Le must du must étant celui de Bliss ! A part 2/3 trop difficiles pour moi, je les ai tous dévoré !
J’ai également adoré écouter – mais plus pendant mon post partum – celui de Clémentine Sarlat de La Matrescence et celui de Benjamin Muller de l’émission La Maison des Maternelles. D’ailleurs les podcats c’est un peuc e qui a sauvé mon cerveau pendant mon post partum : je les écoutais en promenant ma fille en poussette et j’avais l’impression de récupérer enfin mes capacités intellectuelles ! (Oui parce que lire un bouquin ca peut vite être ambitieux en post partum ^^). Un autre podcast super mimi, c’est celui d’Histoires de prénoms : de cours épisodes où des parents viennent témoigner du choix du prénom de leur enfant.
 
Les comptes instagram
 
Il y a pas mal de comptes insta qui délivrent des infos intéressantes et permettent également de se sentir moins isolée :
@lemoisdor
@postpartum_tamere
@lequatriemetrimestre qui a lancé également un podcast !
 
Mes aides
 
Parmi les 2/3 trucs qui m’ont vraiment soulagé pendant la grossesse, en plus de la séance ostéo qui m’a vraiment enlevé toute douleur, il y a la ceinture physiomat confort. A utiliser dès que vous êtes debout pour soulager le dos et la sensation de ventre qui pèse.
 
J’ai utilisé par mal un ballon aussi, cela me permettait de faire des mouvements de rotation du bassin et de garder une certaine mobilité. Une astuce pas mal avec le ballon : ne le remisez surtout pas après l’accouchement ! Quand vous bercerez bébé, asseyez-vous dessus. Vous pourrez le bercer sans vous casser le dos du coup !
 
Le coussin d’allaitement pour dormir ou bien se caler assise peut se révéler également super utile. Le mien est un grand Corpomed, hyper confortable (je trouve que certains ne sont pas assez garnis pour bien vous maintenir, j’aurais tendance à dire de privilégier un plus grand que trop petit !).

 
Ma valise de maternité
 

Ça c’est LE sujet que toute future maman attend ! J’en ai lu pas mal des articles sur la valise de maternité, histoire d’être sûre de ne rien oublier du tout ! J’avais aussi le recul sur mon premier accouchement, donc j’ai ajusté au mieux ! Et surtout, cette fois-ci j’en ai rien eu à faire de débouler à la maternité avec une énooorme valise ! J’allais m’y installer pour plusieurs jours, j’avais envie d’être complètement confortable !
J’avais donc 2 valises : une valise cabine pour la salle de naissance et une grosse valise pour l’hospitalisation. J’ai organisé l’intérieur de mes valises avec des organisateurs de bagage. Ce sont des pochettes de tailles différentes qui permettent d’organiser donc vos affaires. Vous en trouverez facilement sur le net, c’est également génial pour les valises de vacances !
 

Brosse à cheveux Bachca – Soin lèvres Moisture Surge Clinique – Nettoyant visage Pai – Valisette en tissus Numéro 74 – Doudou Cam Cam

 
Ma valise pour la salle d’accouchement
 
Bon du coup, je n’ai utilisé que ce qui est ci-dessous, le reste plus bas, je n’en ai pas eu le temps !
– Une paire de chaussette chaudes car on peut vite être frileux des pieds ^^
– Le sifflet de la méthode Guillarme : c’était ma méthode de rééduc abdo pour ma première grossesse et je l’ai utilisé une porte partie du temps de la poussée afin de mieux gérer mon souffle
– La ceinture Hobby de Bernadette de Gasquet : que j’ai mis juste après la fin des soins et avant de me lever afin de bien maintenir mon bassin. Vous pouvez aussi demander aux sage-femmes de vous bander le bassin, de plus en plus savent le faire. J’ai vraiment adoré cette ceinture, je l’ai gardé les 3/4 premières semaines : je me sentais vraiment maintenue et je me fatiguais moins. Et puis, je n’avais plus du coup cette sensation de ventre tout mou qui pend, je me sentais contenue.
 
Ce que je n’ai pas eu le temps d’utiliser :
 
– 1 bouteille d’eau infusée (du commerce)
– Un stick à lèvre
– Huile au cupuaçu de Klorane pour les massages : j’ai découvert cette huile lors d’un shooting pour Klorane et je suis totalement fan de son odeur. C’est vraiment une odeur qui me détendait.
– 1 balle de tennis pour faire des massages et soulager la douleur
– Un snack, des bonbons à sucer, du chewing gum
– Un élastique à cheveux : pour l’avoir oublié pour mon premier accouchement, ça m’a vraiment gêné d’avoir les cheveux dans les yeux (et clairement à ce moment-là je n’avais pas assez de cerveau pour en demander un au personnel soignant !)
– Une guirlande lumineuse pour une ambiance intimiste plus sympa que les néons de l’hopital et donc plus propice au développement de l’ocytocine ! L’idée c’est de se détendre pendant l’accouchement, alors c’est plus facile de se détendre dans une ambiance comme au spa plutôt que comme à la banque !
– Un gilet chaud : si vous êtes frileuse comme moi et accouchez en hiver !
– Nécessaire à lentilles et lunettes de vue
– Une petite trousse avec dedans : brosse à dent, dentifrice, shampoing sec, brosse à cheveux, démaquillant et crème hydratante (pour si jamais le travail durait un moment !)
– Chargeur de téléphone (privilégiez un fil long si possible car les prises peuvent être loin des lits)
– Un petit appareil photo
– Une petite enceinte bluetooth
 

Gigoteuse Cyrillus – Gilet Bonton – Doudou Main Sauvage – Plaid H&M Home

 
Côté bébé, j’avais pris deux combo body manche longue/pyjama : un en taille naissance et un en taille 1 mois au cas-où. Elle faisait quasi 4kg mais le naissance était largement suffisant. J’avais également mis dedans un petit gilet, un bonnet et une gigoteuse taille naissance/3mois. Pour les body, prenez des bodys qui s’ouvrent par le devant ! Tout était rangé dans un tote bag, comme ça votre accompagnant prend le sac et se débrouille tout seul !
 
D’ailleurs, concernant l’accompagnant, je ne vous liste rien. Je pars du principe que votre mec ou votre meuf est largement capable de se débrouiller pour se préparer sa petite monnaie, son magazine ou que sais-je ! Mon mec n’avait besoin de rien, il avait juste bien préparé ses antisèches sur son téléphone avec les points d’accupression et autre conseils de la sage-femme en préparation. Je lui avais fait aussi noté des phrases inspirantes pour moi pour qu’il puisse me les sortir au moment opportun. D’ailleurs, aucune idée s’il ne me les a prononcés à un quelconque moment !
 
En chambre pour moi
 
– De la bouffe ^^ Je ne vous apprends rien en vous disant que les repas à l’hôpital ce n’est pas la joie… J’ai quand même eu un repas avec des choux. Hyper adapté quand tu viens d’accoucher ! Et le petit-déjeuner, que du sucre, rien d’adapté à une jeune accouchée. J’avais donc prévu un mélange de fruits secs, des compotes, des dattes et bananes séchées et des tisanes d’allaitement. J’avais aussi chopé dans mon magasin bio des espèces de petit dej en gourde qui m’ont bien calé. Mais surtout les fruits secs, c’est vraiment vos munitions de guerre pour lutter contre les coups de mou !
– Des shorty : pour mon premier accouchement c’était des culottes filet absolument pas confortables donc j’avais prévu des shorty achetés chez H&M pas du tout sexy mais qui ont le mérite de bien tenir votre serviette !
– Une robe de chambre parce que le confort c’est important ! Pour ma première, j’ai accouché en juin et le paréo était ultra pratique !
– Des pyjamas doudou : plusieurs car vous risquez de les tacher de sang (ou de lanoline si vous n’êtes pas douée comme moi)
– Mes bas de contention
– Une paire de chaussons moelleux ou des tongs (propres) suivant l’époque de l’année
– Deux serviettes de bain (corps et cheveux) et un tapis de sol pour ne pas avoir les pieds mouillés
– Votre trousse de toilette : ça c’est le truc un peu relou car si on veut être tranquille, il faut donc avoir votre routine en double. J’ai donc acheté pour l’occasion des formats voyage de mes produits préférés ou des contenants voyage pour les verser dedans. Niveau maquillage, j’avais prévu anti-cernes, poudre de soleil et blush. Je marque très facilement la fatigue et je n’avais absulument pas envie de me voir dans le miroir avec une gueule défoncée.Je me suis maquillée tous les matins de mon post-partum. Aucune envie que mon miroir me rappelle que je suis fatiguée ! (Alors que là nous sommes à plus de deux semaines de confinement et c’est no make up day tous les jours !)
– Un sèche-cheveux : pour vos cheveux mais aussi pour sécher vos cicatrices éventuelles
– De la lanoline si vous comptez allaiter à mettre le plus vite possible sur vos tétons pour prévenir les crevasses
– Des serviettes hygiéniques spéciales post-partum : alors c’était un peu fail de ce côté-là car elles n’étaient pas assez larges et ont pas mal fui. Heureusement celles de l’hôpital étaient plus adaptées ! J’ai appris aussi par la suite qu’on pouvait privilégier les serviettes pour femmes matures.
– Du papier toilette le plus doux possible et des lingettes intimes : vous ne savez pas dans quel état seront votre vulve et votre anus, alors privilégiez la douceur, on ne sait jamais !
– La guirlande lumineuse et une prise avec télécommande : parce que ça vous diffuse une lumière douce la nuit, plus sympa que le néon de l’hôpital, et la prise avec télécommande (ce genre-là) car ça vous évite de la brancher et de faire de bouger votre corps dans tous les sens !
– Le coussin d’allaitement
– Un sac à linge sale
 
Je ne l’ai pas fait cette fois-ci mais vous pouvez également amener votre propre oreiller.
 

Couverture Garbo&Friends – Blouse en double gaze Kiabi – Hochet oiseau Bajo

 
En chambre pour mon bébé
 
Je n’avais rien prévu de plus que ce que la maternité m’avait conseillé !
 
Je suis restée 4 jours à la maternité. J’ai beaucoup aimé ce moment hors du temps. Je sais que beaucoup sont pressées de rentrer chez elles, mais moi j’aime bien ces quelques jours où tu as à disposition toute une équipe de soignants pour répondre à tes questions. N’hésitez pas à poser toutes vos questions, à solliciter les soignants pour des conseils : il n’y a pas de questions cons ! N’hésitez pas non plus à noter vos questions et leurs réponses car vous ne serez pas au top de votre mémoire. C’est aussi le moment où je préfère que les proches viennent car du coup, c’est plus facile pour eux de ne pas s’éterniser mais c’est une question de feeling !